Il y a une chose que je n'attendais pas si vite depuis l'élection de François Hollande, c'est l'effervescence hystérique des plus tarés des libéraux et de cette droite qui montre de plus en plus ce qu'elle est en réalité, un parti poubelle près à toutes les provocations pour regagner des élections. Je pensais sincèrement que la branlée du 6 mai de Talonnettes allait calmer leurs ardeurs. On se doutait que l'équipe de Sarkozy avait demandé aux grands patrons de repousser après le 6 mai les grandes purges dans les entreprises mais je ne pensais pas que les contre-attaques allaient être si violente. On constate aujourd'hui l'indigestion de cinq ans de Sarkozy, la droite a des gazes, les libertarés et les brunâtres sont ensembles pour diffuser leurs idéologies nauséabondes. La droite, dans son ensemble, refoule de plus en plus du bec . Un Geoffroy Didier qui prend tout le monde de haut chez Ruquier et qui aurait sa place dans le top 3 du Front National, un Sarkozy, grossier, mal rasé et plus cynique que jamais qui vient gagner ses sept smics annuels en 1h à donner des conseils 5 étoiles dans un séminaire de traders cocaïnés organisé par une banque d'investissement dans des paradis fiscaux, Copé et ses pains aux chocolats qu'il peut se foutre au cul et Fillon qui en remet sur l'urgence de travailler plus pour faire gagner plus aux actionnaires.
Fillon sert le caviar aux libéraux et nous propose la soupe en nous disant que c'est pour notre bien. Le pays souffre et le futur leader de l'UMP veut nous finir au rouleau compresseur. Ses amis ont créé la crise et pour nous sauver de la crise, il propose de nous saigner, ce type, malgré ses airs de gentil Droopy, est aussi dangereux que les autres. Que tout ces gens là regardent autour d'eux, qu'ils aillent montrer leurs baloches chez les gars d'Aulnay ou à Angers, qu'ils aillent expliquer leurs théories libérales chez Mittal. Toute cette clique qui ose encore la ramener après un quinquennat de scandales, de casses sociales, de destructions d'entreprises et de record de dettes et de chômage mériterait de prendre perpette à casser à la main les restes d'usines qu'ils ont abandonné aux financiers.
ah, j'ai eu peur, j'ai cru que vous alliez parler des libéraux ! (Alternative Libérale, Parti Libéral Démocrate, Nouveau Centre, les Libéraux du Modem).
RépondreSupprimerMouais, vive les gentils libéraux qui nous veulent que du bien.
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