Mickaël Vendettache le futur américain

 

Le président Sarkozy est sur la fin, il vient de prouver aujourd'hui face aux salariés d'Arcilor Mittal que son statut de candidat du peuple valait peau de nib, les gentils CRS mobilisés devant son QG l'ont représenté à coup de gazeuses estampillées Medef mais il garde quand même quelques soutiens parmi les pires raclures qu'il existe dans le show-biz. 

Ces soutiens qu'on a vu au meeting de Villepinte ont tous un lien avec Sarkozy par le pognon, pas par une quelconque morale ou par des idées lumineuses. Depardieu par exemple est redevable pour ses affaires, Clavier pour sa résidence corse, Macias certainement pour bon voisinage à Neuilly et je passe les autres plus intéressés par leur feuille d’impôt que par le sort des millions de smicards qui survivent dans le pays.

Mais la grosse burne en chef reste quand même Mickaël Vendetta, cet abruti attardé qui s'est fait connaître grâce à des chaînes de télé poubelle se met à rêver d'une carrière politique en soutenant Sarkozy. Il a choisi forcément le clan du pognon et ce n'est pas plus mal. Avec les frères Bogdanoff, Johnny Hallyday, Depardieu et autres Sardou il a parfaitement sa place chez les tocards.

A la limite qu'il soit pour l'UMP ce crétin, ça m'arrange très bien. Non le truc qui me gène c'est quand dans la presse cet étron se permette d'essayer de donner des leçons de politique. Ce merdeux qui ne respecte rien prie même ses followers de Twitter qui oseraient voter Hollande de l'abandonner. Je vous laisse lire son interview en lien plus haut pour vous faire une idée du bonhomme, rien ne sort de sa cervelle évidement, les réponses doivent faire partie d'un kit du bon militant benêt avec des morceaux de discours de Copé ou d'Estrosi dedans.

Ce qui est malheureux c'est la masse de débiles qui suit encore cette tête à claques. La seule chose que j'attends de lui est de respecter sa promesse de se barrer du pays, il parle de Los Angeles et j'espère qu'il prendra vite le premier vol le 7 mai. 

Cette grosse tache ne sert à rien chez nous il ne nous manquera pas.