Peillon, pauvre homme. Ce politicard de troisième zone aura rempli toute sa vie avec du vide, et il continue. Notons pour le plaisir pervers que ce cumulard était ces derniers temps député européen et professeur en Suisse, où l'on espère qu'il aura su ouvrir un compte bancaire sans tracas. Après avoir transité par toutes les écuries socialos, après avoir trahi tant de chefs qu'on ne peut tous les citer, ce prodigieux agrégé de philosophie se présente à la primaire du PS. Or, ainsi que tu le sais probablement, ami lecteur, il vient de se lâcher en direct sur l'antenne de France 2. Pour lui, le port de l'étoile jaune par les Juifs sous Vichy, c'est pareil que le sort fait souvent en France aux musulmans. La faute, précise le penseur, à la laïcité du régime fantoche de Pétain et aux supposés « islamophobes » d'aujourd'hui. Bien sûr, c'est d'une connerie abyssale, ne serait-ce que pour une raison qu'un lycéen moyennement éduqué sait : Vichy, loin d'être laïque, était un ramassis de calotins en constante extase devant la hiérarchie catho la plus atroce. Au-delà et plus grave, ce crétin qui ose viser l'Élysée donne des arguments aux djihadistes, qui circuleront en boucle pendant des années sur le Net. Et en effet, si le sort des musulmans est de finir à Auschwitz, pourquoi se gêner, pourquoi ne pas tirer dans le tas ? Peillon, charmant apôtre de l'État islamique.
L'auteur de cette baffe dans la tronche de Vincent Peillon est Fabrice Nicolino, journaliste à Charlie Hebdo mais c'est tellement beau et juste que je me permets de le remettre ici.
Quand Vincent Peillon, homme de cabinet, se met à débiter de la merde, la boucle est bouclée.
Et dire qu'il a été ministre de l'Education nationale. Ah Bravo!
Quel con !
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