Evidemment j'ai suivi l'exploit du doyen des cyclistes Robert Marchand et évidement je trouve remarquable ce qu'il a fait pour son plaisir parce que le vélo, même sous sa forme la plus sportive, reste avant tout un plaisir.
22,5 km/h de moyenne pendant 1 heure est remarquable quoiqu'en pense le journaliste de Libération Pierre Carrey, apparemment plus spécialisé dans le dopage professionnel ou le déplacement en grosse berline diesel entre chaque étape du Tour de France. S'il avait posé son gros cul une seule fois sur une selle de vélo dans sa vie, il aurait su que 22,5 km/h de moyenne sur une heure est bien supérieure que ce que la majorité des français peuvent faire, ces même français qui ne parcours d'ailleurs en moyenne que 87 km dans une année.
Ce pauvre Robert n'a peut-être pas demandé une assistance médiatique digne d'une compétition olympique, il n'en reste pas moins que son record ne s'apparente pas à une "parodie" athlétique mais bien le reflet d'une passion que ce centenaire en pleine forme a pour le vélo. Le courage, oui il en faut pour monter sur son vélo tout les jours et pas qu'à 105 ans, il faut avoir la forme aussi mais ce record homologué ou pas, on s'en fout, nous montre que tout le monde pourrait faire un effort pour se passer de sa voiture de temps en temps.
Plutôt que de voir du cirque, Pierre Carrey aurait pu voir quelque chose de rafraîchissant. Il y avait certes beaucoup de caméra au Vélodrome nationale mais la star du jour avait 105 ans tout de même. Pour une fois que des journalistes ne courent pas après les fesses de Kim Kardashian il y en a qui trouve des trucs à redire pour l'exploit d'un petit bonhomme sympathique.
Ce bouffon mérite de suivre le tour de France sur un vélo sans selle enduit de piment.
RépondreSupprimerQu'il prenne déjà son vélo tous les jours pour aller écrire ses articles!
SupprimerOui mais Kim machin est plus baisable.
RépondreSupprimerC'est sûr.
SupprimerLa mort, c’est un peu comme la connerie. Le mort, lui, il ne sait pas qu’il est mort… ce sont les autres qui sont tristes. Le con c’est pareil…
RépondreSupprimer(Philippe Geluck)