"Qu’est-ce qu’ils ont tous à se précipiter autour d’elle, tous ces mecs ? Ils sont comme Un tel à vouloir se faire tailler des pipes par Hidalgo." Philippe Pemezec, maire du Plessis-Robinson, lors du lancement du chantier du Grand Paris Express, samedi dernier à Clamart, n'y va pas par le dos de la cuillère quand il lance ses grosses blagues graveleuse devant ses amis élus des Hauts-de-Seine où la gauche n'a plus rien.
C'était facile, le maire du Plessis était à domicile alors évidemment quand la seule personnalité socialiste présente est une femme, on se défoule comme un gros cochon qui a bien bu pendant un repas et on fait le coq devant les copains sauf qu'il n'était pas qu'avec des potes et que la réunion de travail était sérieuse et un petit peu médiatisé.
Philippe Pemezec s'est fait gaulé en flagrant délit de beauferie sexiste, ce n'est pas le premier chez un élu et ce n'est pas prêt d’être le dernier mais il est tellement persuadé d'être dans son bon droit qu'après la lettre coup de boule que lui a adressé la maire de Paris il n'a rien trouvé de mieux que d'y voir une manœuvre politique en retour.
On avait eu droit au libertinage incompris, au jeu de séduction mal évalué, à la pratique bondage du léchage de pied, au coup de bite involontaire mais on n'avait jamais eu de victime de manœuvre politique anticipée en insultant publiquement une élue de traînée.
Il n'y a pas à dire, on progresse.
D'un autre côté, ça ne nous dit pas si elle suce bien.
RépondreSupprimerC'est pas faux, je vais y penser cette nuit dans mon lit.
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