Jean-François Copé se dit indigné par la suppression rétroactive au premier janvier 2012 des heures supplémentaires défiscalisées par le gouvernement, il serait outré du "coup porté, en catimini et dans la plus grande déloyauté, au pouvoir d'achat des classes moyennes par la majorité de gauche", il juge la décision "particulièrement choquante», «d'un point de vue économique comme d'un point de vue éthique", bien sûr mais la meilleure est qu'il pense qu'il est injuste de toucher au "pouvoir d'achat des salariés, employés, ouvriers", les ouvriers, sans déconner, il essaye de faire croire qu'il pense à eux.
Monsieur Copé est dans un autre monde comme ses amis du Medef, ce n'était qu'un beau cadeau pour les patrons, cela n'a jamais servi aux salariés et les entreprises n'ont pas recruté pas pour autant. Monsieur Copé, complètement à la ramasse particulièrement depuis son annonce du nombre de militants au meeting de Nicolas Sarkozy au Trocadéro va bientôt être outré de la suppression des heures supplémentaires défiscalisées des salariés de l'usine PSA d'Aulnay. Et en cadeau pour les patrons, Copé et ses amis de l'UMP s'y connaissent, seulement ils ne sont plus là pour faire doublement plaisir à Philippe Varin le patron de PSA, lui offrir des aides publiques pour fabriquer des chômeurs.
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